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vendredi 30 octobre 2015
mardi 20 octobre 2015
CAMERA CACHEE SUR LA VILLE
23 Policiers Municipaux qui doivent arpenter le territoire intercommunal !!
90 000 euros crédités au dernier budget communal pour l'installation de la vidéo surveillance de la commune !!
Beaucoup de moyens qui sembleraient être mis en œuvre pour assurer la sécurité des habitants...
Mais le constat est autre:
Au hasard des promenades , on peut se rendre compte que ici et là , l'insécurité règne sur la ville et les premiers à s'en rendre compte sont les vacanciers de la Toussaint....qui viennent sur le baladoir respirer l'air pur de Saint-Cyp la Familiale !
Je conseille à Monsieur Delposo de venir faire un tour à la plage de temps en temps.
90 000 euros crédités au dernier budget communal pour l'installation de la vidéo surveillance de la commune !!
Beaucoup de moyens qui sembleraient être mis en œuvre pour assurer la sécurité des habitants...
Mais le constat est autre:
Au hasard des promenades , on peut se rendre compte que ici et là , l'insécurité règne sur la ville et les premiers à s'en rendre compte sont les vacanciers de la Toussaint....qui viennent sur le baladoir respirer l'air pur de Saint-Cyp la Familiale !
Je conseille à Monsieur Delposo de venir faire un tour à la plage de temps en temps.
mercredi 14 octobre 2015
UNE GIFLE QUI COÛTE CHER AU CONTRIBUABLE...
PARIS : le tribunal
correctionnel déboute le maire de Saint-Cyprien de ses deux plaintes en
diffamation contre Jean Jouandet…
- « Un
nouveau camouflet judiciaire pour le maire de Saint-Cyprien : Le Tribunal
correctionnel de Paris a débouté Thierry DEL POSO de ses deux plaintes en
diffamation contre Jean JOUANDET et il lui inflige une leçon de droit.
Le
maire de Saint-Cyprien a déposé en 2012 auprès de la XVIIème chambre du
TGI de Paris deux plaintes contre Jean JOUANDET en invoquant des propos de
diffamation ou d’injures publiés sur son blog Pugnace. Après une instruction
de trois ans, le jugement a été rendu le 10 juillet 2015 : il
prononce la relaxe sur tous les points de l’accusation.
Le tribunal souligne d’abord que « s’agissant
d’un homme politique, les limites de la critique admissible sont plus larges,
lorsqu’il est visé en cette qualité, qu’à l’égard d’un simple particulier;
qu’en effet, il s’expose inévitablement et consciemment à un contrôle attentif
de ses faits et gestes tant par les journalistes que par la masse des citoyens
et doit, par conséquent, montrer une plus grande tolérance ». En
fonction du contexte et des divers éléments objectifs des divers propos
dénoncés comme injurieux, tels que « cette équipe de minables
élus », il conclut qu’aucun « ne peut être considéré comme
excédant les limites admissibles, les termes employés étant certes vifs et
parfois désagréables mais relativement modérés, compte tenu en outre de la
violence manifeste des polémiques locales, pour certaines entretenues par
Thierry DEL POSO lui-même, et de la qualité d’élu d’opposition s’agissant
de Jean JOUANDET »
De
même sur les accusations de diffamation, le tribunal rappelle que l’honneur et
la considération doivent s’apprécier non pas selon les conceptions subjectives
du plaignant mais en fonction des propos, du contexte et de la réprobation
provoquée par les propos litigieux. Et il juge que ceux qui évoquaient « l’incompétence
supposée de Thierry DEL POSO en sa qualité d’avocat s’apparentent bien
davantage à un jugement de valeur qu’à une diffamation » eu égard
notamment à son « absence de respect pour les décisions de
justice ». Il juge aussi que certains autres propos sur « l’immaturité »
ou « les méthodes peu orthodoxes » de « petits
dictateurs » qui émanaient de lecteurs du blog sont l’expression d’une
simple opinion et au surplus d’usage courant dans l’univers politique.
Enfin
sur les accusations récurrentes de « haine » émises par M. DEL
POSO le jugement est sans appel (le maire n’a du reste pas fait appel). Il
valide clairement la légitimité de ma critique par la bonne foi qu’il explicite
ainsi. Au cas particulier « le sujet abordé présente à l’évidence un
intérêt légitime, s’agissant des méthodes de gestion et d’administration d’un
maire, parallèlement avocat, et ayant vu à plusieurs reprises certaines
délibérations annulées par les juridictions. L’absence d’animosité personnelle
est également établie, la virulence des échanges de deux adversaires dans le
cadre politique ne devant pas être confondue avec un tel sentiment. Eu égard au
contexte politique particulièrement vif, le ton employé, par delà les
outrances propres à ce type de débat et les spécificités locales alléguées lors
de l’audience, ne paraît pas, dans les passages concernés, excéder les limites
admissibles en l’espèce. Enfin … les précisions et documents donnés permettent
de considérer que les propos tenus sur le blog de Jean JOUANDET, fin
connaisseur de l’administration et des finances locales en sa double qualité
d’ancien préfet et d’élu municipal et en proie lui-même à de vifs reproches et
attaques de la part de la partie civile, dont il a été un temps l’adjoint,
reposaient sur un faisceau d’éléments suffisamment étayés. »
Au
final, M. DEL POSO a été débouté de ses deux plaintes – aucune autre introduite
au TGI de Perpignan n’a non plus abouti – les diverses critiques ont été
légitimées, leur auteur totalement relaxé et la commune qui avait accordé sa
protection fonctionnelle a encore une fois payé les frais ».
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