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samedi 8 mars 2025

CAROLE DELPOSO UN "ETRE VIRTUEL DE LA POLITIQUE LOCALE ET DEPARTEMENTALE"?

 


Alors que les affaires des attachés parlementaires du MODEM, du RN et de LFI font l’actualité, la question de l’utilité de ces collaborateurs refait surface. Depuis l’affaire Fillon en 2017, le rôle des suppléants parlementaires, qualifiés d’« êtres virtuels » par Christophe Bellon, est régulièrement remis en question. Denys Pouillard, directeur de l’Observatoire de la vie politique, souligne même qu’il est étrange qu’un suppléant devienne salarié du titulaire.

             Depuis 2017, Saint-Cyprien a son propre « être virtuel » : Mme Carole Delposo.
 
Malgré sa présence dans des instances clés comme le conseil d’exploitation du port et le comité de direction de l’Office de tourisme, son absence totale de prise de parole publique interroge. Ni réflexion, ni avis sur les affaires communales : Mme Delposo semble inexistante dans les débats locaux.

En tant qu’attachée parlementaire de Jean Sol, elle devrait contribuer à la rédaction de notes de fond et participer à l’orientation législative. Pourtant,nous n'avons eu à ce jour, aucun élément concret sur son travail.
 Un exemple flagrant : en 2022, Jean Sol a participé à un rapport sénatorial sur « l’avenir de l’eau », un enjeu crucial pour notre département. Bien que référente « eau » pour la ville, Mme Delposo n’a jamais partagé les conclusions de ce rapport avec le conseil municipal ou les habitants.

Les contribuables de Saint-Cyprien, qui financent son mandat, méritent des réponses claires sur son action réelle. Mme Delposo doit enfin sortir de l’ombre et prouver qu’elle n’est pas simplement un « être virtuel » de la politique locale.

À suivre…

1 commentaire:

  1. Elle exerce cette fonction simplement par le fait du prince. La tentative de l'imposer comme directrice en 2009 n'ayant pas marché il fallait bien lui trouver un titre, j'ai bien dit un titre pas une fonction car pour cela il faut des compétences, des capacités. J'espère qu'il n'arrivera pas à Jean SOL le même sort qu'a Arlette FRANCO, à la différence à l'époque son suppléant était maire de Saint-Laurent, certes il s'agissait de députation, de plus il était médecin, donc au niveau intellectuel il avait l'équipement.

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