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vendredi 18 février 2011

tempête:les nouvelles communes à risques!!!!!!!

Les prévisions d'urbanisation de notre ville risquent d'être remises en cause,........qu'en est-il du PPR,du PPRI.....?

Tirant les leçons de Xynthia, l'État demande la révision des plans de prévention des risques dans 68 communes et l'établissement d'un plan dans 242 autres.

Il y aura un avant et un après Xynthia, comme il y a eu un avant et un après AZF», déclarait jeudi Nathalie Kosciusko-Morizet, la ministre de l'Écologie. La tempête qui a provoqué la mort de 53 personnes a servi d'électrochoc. Un an plus tard, au-delà des mesures destinées spécifiquement à la Vendée et la Charente-Maritime, la ministre a donc présenté «la nouvelle feuille de route de l'État pour lutter contre les submersions rapides». Ce plan, validé par Matignon, mobilisera sur six ans (2011-2016) environ 500 millions d'euros prélevés sur le fonds de prévention des risques majeurs (fonds Barnier).

La première priorité est de maîtriser l'urbanisation dans les zones à risques tout au long du littoral. Aujourd'hui, 124 communes disposent d'un plan de prévention des risques (PPR). Pour 68 d'entre elles, le plan va être révisé. «Ces plans ont été jugés insuffisants à l'aune de la tempête Xynthia, qui est devenue la référence», explique-t-on au ministère de l'Écologie. Et, dans un délai de trois ans, 242 nouvelles communes devront à leur tour disposer d'un tel plan. La liste des communes est consultablesur le site ­Internet du ministère de l'Écologie. Les plans, quant à eux, seront, une fois achevés, consultables dans les mairies.

Il s'agit prioritairement de déterminer les zones dans lesquelles l'urbanisation doit être totalement interdite et celles dites à risques moyens ou faibles, où les constructions seront possibles mais soumises à des règles précises. En outre, à la fin de l'année, l'État proposera aux professionnels un référentiel technique pour améliorer les constructions déjà existantes.

Du côté des digues (1000 km sur le littoral et 7000 km de digues fluviales), le premier travail vise à essayer d'en retrouver les propriétaires et éventuellement les gestionnaires. Actuellement, près de 3000 km de digues sont considérées comme orphelines. Sur la période 2011-2016, il est prévu de renforcer 1200 km sachant que l'on évalue à 1 million d'euros le coût pour 1 kilomètre.

(source Le Figaro 17 Février 2011)

1 commentaire:

  1. joli copié_collé+résumé ! et appliqué à st cyprien cela donne quoi ?

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