Durant sa campagne électorale, qui se relève de plus en plus mensongère , notre Empereur "Thierry l'Epanoui " avait fait de la réduction de la dette de Saint-Cyprien, son cheval de bataille...
* Force est de constater que deux ans après , rien n'a bougé ...
Au contraire , " Thierry l'Epanoui " , distribue un argent qui n'existe pas, continue à dépenser et à offrir aux copains sympas des postes privilégiés...
Chez notre "Epanoui politique", entre cagnotte et faillite, la nuance est étroite, et la richesse qu'il voudrait faire croire au dernier conseil municipal, n'est que sémantique...
Le retour à l'orthodoxie financière, lui "l'Epanoui dans sa vie privée" , il s'en moque et il n'est pas prêt à intégrer l'affectation d'un excédent à la réduction de la dette...
A mes questions restées sans réponse, "l'Epanoui" dans son fauteuil trop grand pour lui, me dit qu'il m'écrira...
Et pendant ce temps , le cercle des siens , de ses proches , tous ébahis par l'épanouissement du "Maître Impérator", dans ses vies privées, sportives(?), professionnelles et politiques, les yeux illuminés de paillettes continuent à se taire...
Dans cette majorité municipale multi-partis, le silence est d'or...
"De cet or, hélas pour les citoyens contribuables de Saint-Cyprien, que la Banque de France ne stocke pas"...
Epanoui, épanoui, épanoui, epanoui,je suis épanoui.....
RépondreSupprimerIl faut vraiment le claironner pour le voir ,tellement le fond est terne, mesquin, petit, voire indigne.
La réflexion lancée à l'élu d l'Opposition au sortir d'une épreuve terrible, n'est il pas le témoignage du genre de l'individu, minus, complexé, sans fond. La dégradation continue d'où la résurrection de l'autoritarisme, la perte de sang froid, le mensonge, la censure et le silence.Tous les ingrédients du néant.Pauvre âme, elle est plus à plaindre qu'à blamer en définitive. Quelle vie intérieure ? quelle misère ! C'est typiquement un manque d'amour !
A trop se déclarer EPANOUI ,c'est que l'on ne l'est PAS; les personnes épanouies vivent "leur épanouissement" dans l'ombre et ne le claironnent pas.Le pauvre il est entouré"de fantomes, du vent...".
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